Pub:*Avant de commencer votre lecture, je penses que certaines reconnaîtrons lextrait de cette chronique car il se trouve quenfet elle avait été créée depuis longtemps mais elle navait pas beaucoup marcher. Alors jai décidé de larrêter, puis il y a quelques jours, je suis repartie dessus et surprise, il y avait beaucoup plus de personnes présentent. Jai donc voulu la reprendre mais il se trouve que je ne me rappelais plus de mon mot de passe, ni de mon adresse mail alors jai décidé de refaire une page. Voilà et bonne lecture ! CHAPITRE l. « Moi, Thabilla, 20 ans, étudiante pour plus tard, devenir pharmacienne. Une africaine, dorigine Zairoise - Jamaicaine, avec un teint super claire, assez grande de taille, et assez mince de corpulence, une bouche fine mais assez pulpeuse, de gros yeux ronds, de couleurs noir, mais dun noir peu clair, je dirais même dans les tons du gris, et des cheveux courts, châtains foncés. Côté caractère, sensible, je mattaches très vite, je peux aussi être très naïve. Comme tout le monde, jai aussi mon brin de fort caractère, mais vraiment une pincée hein. » « Après il y a lui, Zayir, celui qui a fait battre mon cœur au premier abord, au premier instant. Celui pour qui je pouvais tuer, et pour qui jai versée des larmes, cétait mon mari. Il avait lui, 23 ans, et était Directeur dune entreprise spécialisée dans la création et la vente de voiture, avant que par ma faute, il naille en prison et que je salisses son image comme il le disait si bien. Cétait un arabe typique, grand, musclé mais pas trop, juste où il faut, des petits yeux bridés marrons foncés, qui me faisaient craqué lorsquil souriait, et un teint assez mâte. Il avait aussi quelque chose qui me faisait craquer chez lui, cest que contrairement à beaucoup dhommes de cités, il navait pas une de ces coupes communes que lon appelle crète, ou dégradé, non, il avait de longs cheveux noir et lisses, qui lui arrivaient au dessus des épaules. Cela lui donnait un air Latino. Côté caractère, il était très très narcissique, ça en devenait même saoûlant pour vous dire, mais avec le temps jai accepté. Il pouvait aussi être gentil et sensible, comme il pouvait être agressif, et devenir la pire des pourritures. » « Notre histoire ? On peut dire quau début ça a été très compliqué à cause et comme toujours, de la différence de culture, de peau, et de religion. Au début sa famille nacceptait pas trop le fait quon sorte ensemble, ils ont même essayer dinventer nimporte quoi pour nous séparer, mais nous ne lâchions pas laffaire, et en voyant à quel point nous nous aimions, ils ont fini par nous donner carte blanche. Nous nous sommes alors unis devant Dieu, et devant la loi ( je me suis convertit ), puis avons vécu heureux pendant on va dire un mois, après ça, Zayir a commencé à devenir jaloux, possessif, et à tout le temps me battre pour un rien, moi, je devais juste la fermer. Toute cette masquarade a durée un an, jusquà ce jour, ce jour où sa vie, nos vies ont prisent un autre tournant.. » - Nous vous condamnons à 2 ans demprisonnement, ferme ! « Nous vous condamnons à deux ans demprisonnement, ferme. Nous vous condamnons à deux ans demprisonnement, ferme. Nous vous condamnons à deux ans demprisonnement, ferme. » Cette phrase se répète dans ma tête, en boucle. Alors cest vrai, cest réelle, le calvaire est enfin terminée ? Mes larmes et mon sang vont enfin arrêter de coûler ? Je pleures, pourquoi ? je ne sais pas vraiment. Je prends mon avocate dans mes bras, puis me tournes, et là des tonnes de fusils me fixaient, ces fusils en question étaient les regards remplient de haine que menvoyaient la famille, les proches et les amis de Zayir, et même ceux de ma famille. Certains minsultaient, et dun côté je les comprennaient car un de leur amis ou proche, sans allait en prison, mais de lautre ils ne savaient pas ce quil mavait fait endurer pendant ces 1 an de mariage, ou plutôt devrais-je dire, de souffrance, de calvaires, vivant dans les coups. Certaines personnes disent qua coups, elles se sont forgées, mais moi, cétait tout le contaire, car à coups, je me suis renfermé, et jai construis une petite carapace sous laquelle je me caches ! Bref, je lances un dernier regard à Zayir, qui lui, je le voyais bien en lui, minsultait comme il le faisait si bien habituellement, avec son regard, puis je me tournes, et marches tout le long du couloir jusquà la porte, la tête baissée et les yeux remplis de larmes ... « Au fond, je sais que tu ty attendais, tu nas rien fait et voilà, je men vais ... » Une fois à lextèrieur de létablissement, la première chose que japerçois devant, cest les personnes qui pleurent, et celles qui sont hyper énerver et déçus. A ce moment précis, grâce à tous ces regards, je compris que jétait maintenant seule, contre tous, enfin... nous, car jétais enceinte de 3 mois. Zayir le savait-il ? Oui, il le savait, mais cela ne la pas empêcher de me battre. Je regardas mon ventre, le caressas, et dit : - Voilà, une nouvelle vie commence pour toi et moi mon amour. Nous sommes maintenant seuls, contre tous ! Puis je pris la route avec ma voiture, les larmes aux yeux ... 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Posted on: Fri, 25 Oct 2013 10:11:10 +0000
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