Qui veut le lien? : FLASH BACK :: Cétait un mois de juillet, le samedi 11 juillet 2008, un mois dété, la tess était ensoleillé. On étaient posé Naya et moi Ayna, dans la chambre. Naya ? Cest ma jumelle, ma photo copie, mon sang, ma vie. ... : Oh Ayna, yemma elle a dit, faut aller acheter le pain. - La flemme wallah, jy vais pas moi. - Azi soule pas Ayna, ty vas, cest toujours moi wesh. - Non, jy vais pas ! Jvais faire la douche à Lyah. - Putain tu soules conasse. Elle enfile sa veste, met ses baskets puis elle part. Je vais dans la salle de bain et je fais couler leau pour Lyah, ma petite soeur de 6ans. [...] La sonnerie du fixe sonne, elle sarrête, ma mère a dut répondre. ...: YA RABBI, PAS MA FILLE NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON, NAAAAYAAAAAAA BENTIII ! Je cours jusquau salon, ma mère est au sol, le visage trempé par les larmes, elle cris. - YEMMA, YEMMA !! QUEST - CE - QUIL YA ? - NAYA ELLE EST MOR..MORTE, ELLE SEST FAITE RENVERSEE ! NOOON YA RABBI ! Ma respiration se saccade, mes larmes innonde mon visage, je me sens partir, je tombe puis .. TROU NOIR. Je me reveille sur un lit dhopital, une infirmière me dit que jai fais un malaise. Je pris pour que la mort de ma jumelle soit un cauchemard mais ce nest que la réalité. :: FIN DU FLASH BACK :: :: DEBUT DU CAUCHEMARD :: ----------------------------------------------------------------------------- Cahier dAyna, écrit le 11 janvier 2009 Aujourdhui, 6 mois jours pour jours que tes plus là, omri. 6 mois que je pleurs ta mort, que je macharne sur mon sort, que je me sens trop coupable de ta mort, cest de ma faute zeubi. Pourquoi jsuis pas aller acheter ce putain de pain à ta place ? Pourquoi je tes laissé aller à ma place ? Putain, pourquoi Naya ? Smehli omri, je ferais tout pour revenir en arrière, pour y aller à ta place smehli wAllah. Jpeux plus sans toi, jy arrive pas, jveux te rejoindre Naya. Pardonne moi, jten supplis hbiba. A la maison, maintenant depuis que tes parti, jsuis considéré comme une moins que rien, Wassim me frappe jusquau sang, il minsulte tout le temps. Yemma me calcule plus, elle me parle que pour me lancer des piques ou me rabaisser. Papa me fouette avec la ceinture, me souhaite la mort chaque jours. Nessrine me frappe défois aussi en même temps que Wassim. Il y a que Lyah, qui comprends pas, qui pleure avec moi le soir. Mais je leurs en veut pas Naya, ils ont perdu leurs filles et Wassim et Nessrine leur soeur mais ce quils comprennent pas cest que moi, jai perdu ma soeur, ma jumelle, ma vie, mon souffle, mon oxygène, ma moitié, mon bras droit, mon TOUT zeubi ! QuAllah men sois témoin que si jaurais pu éviter ce drame, partir à ta place Naya, Hak Allah je laurais fait omri. Je taime, pardonne moi omri Jai oubliée de me présenter, moi cest Ayna, 20 ans. Assez grande, matte de peaux, les yeux marrons verts, les cheveux noirs longs, deux focettes sur les joues, ni grosse ni mince, le portrait craché, la photo copie de Naya. Algérienne de mon père et tunisienne de ma mère. Wassim mon frère, 23 ans, marié à la street. Nessrine ma soeur, 22 ans, toujours à la maison. Ma vie, ma jumelle, Naya, 20 ans Allah y rahma omri. et la dernière Lyah mon bébé damour, 6 ans. Jai pas dami, javais que ma jumelle, a part Faress le shab a mon frere, notre shab à nous aussi. ...: AYNA VIENS LA KEEEEEEHBA ! Je mdepêche vite de cacher mon cahier sous mon coussin, et je vais au salon. Jarrive, il ya mes parents, Wassim, Nessrine. Wassim prends la parole. - ECOUTE MOI BIEN PETITE KEHBA, CEST TERMINER ON VEUT PLUS VOIR TA GUEUL ICI OK ? TOUT EST DE TA FAUTE, SI SEULEMENT ON POUVAIT REFAIRE VENIR NAYA ET TE FAIRE PARTIR TOI ZEUBI CA SERAIT LE TOP MA GUEULE ! DONC CEST BIEN LA DERNIERE FOIS QUE TU NOUS VOIS, TU TE CASSE DICI, VA PRENDRE TES AFFAIRES KEHBA. Aucun na parlé a part mon frère, mes larmes coulaient le long de mes joues. Jsuis partis dans ma chambre, jai pris les affaires qui me rester, mon cahier, le collier de ma soeur et quelques trucs à elle. Jsuis parti dans la chambre à Lyah, la seule qui a un peu destime pour moi. - Je pars bébé, je reviendrai In sha Allah, je te promet quun jours, on se reverra fais attention a toi ma princesse. Elle pleurait, je les pris dans mes bras et je lui ai déposé un bisous sur le front puis je suis parti au salon, il rigolais ensemble, je lache un dernier Salem Aleikum et jai franchis le pas de la porte. Nul part où aller, à la rue.. {Chronique fictive, mais ne vous arrêtez pas là, on ne juge pas un livre à sa couverture}
Posted on: Fri, 15 Nov 2013 14:41:18 +0000
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