RAPPEL : Taubira, tyran domestique ! par Christan Balboa Le magazine Le Point vient de publier, dans sa version papier, un portrait de Christiane Taubira intitulé : « La très tumultueuse Taubira ». Dans cet article, j’ai retenu la façon dont le Garde des Sceaux traitait ses collaborateurs. Ils n’ont pas la chance, il est vrai de faire partie de cette population qui monopolise visiblement toute l’attention et toute la compréhension de Christiane Taubira, j’ai nommé les délinquants ! En voici quelques exemples: Alors qu’on l’interroge sur ses colères, ses propos blessants, la fatigue de ses attachés parlementaires, elle nous darde, riant toujours : « C’est bête qu’on ne soit pas au 2 ème étage, car je vous aurais passés par la fenêtre ». A l’Assemblée Nationale, les souvenirs sont aigres : « Christiane Taubira multipliait les CDD pour ses collaborateurs et se montrait humiliante envers eux. Elle les réprimandait parfois violemment, la porte de son bureau ouverte » confie, anonyme, un attaché parlementaire. « Vous êtes une médiocre. Je vous ai ramassée dans le ruisseau. Vous ne vous rendez pas compte de la chance que vous avez de travailler avec moi ! » Sylvia Edom, son attachée parlementaire en 2002 et 2003 obtint sa condamnation devant les Prud’hommes de Paris, pour un licenciement injustifié et une rupture de CDD. « Elle donne des ordres contradictoires et en fait porter les conséquences à ses proches » Accusée « d’insuffisances professionnelles caractérisées » par Taubira, Sylvia Edom avait déclaré « avoir été en butte aux exigences incessantes et à l’attitude humiliante de son employeur, cela confinant à un harcèlement moral » . Mme Taubira fut condamnée à verser 5 300 € à son attachée, les 2 CDD ayant été également requalifiés en CDI. Cette querelle judiciaire ayant été relatée dans la presse, la députée Taubira avait attaqué en diffamation l’Express et le secrétaire général de l’Union Syndicale des collaborateurs parlementaires. Déboutée en première instance, Taubira avait fait appel puis, résignée, avait abandonné. Par la suite, Mme Taubira licencia deux autres collaboratrices … Conseillère régionale en Guyane, Mme Taubira eut encore des problèmes de management, essayant de licencier une assistante pour faute grave, avant d’accepter un arrangement à l’amiable. Mme Taubira se défend : « J’ai aussi eu des assistants qui sont revenus quatre fois travailler avec moi; certains ne me quittent plus ! » On ne fera croire à personne, vue l’accumulation des problèmes de management, que la faute incomberait à la cohorte des assistantes licenciées… En ce qui concerne celles qui restent fidèles à Taubira, c’est comme partout, il y a toujours un quota de masochistes, même chez les assistantes parlementaires ! La photo ci-contre, prise sur les bancs de l’Assemblée nationale, en dit long sur la dureté et la violence du caractère de cette chère madame Taubira ! SV
Posted on: Sat, 23 Nov 2013 07:30:31 +0000
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