Réchauffement climatique : il n’y a aucune preuve de son - TopicsExpress



          

Réchauffement climatique : il n’y a aucune preuve de son origine humaine L’IPCC, créé sous l’impulsion des Etats-Unis et sous l’égide de l’ONU nous affirme avec force que le réchauffement climatique et l’augmentation dramatique de gaz à effet de serre sont dus à l’activité humaine, et surtout industrielle. Et ils le prouvent scientifiquement dans un rapport que doivent prendre pour pain bénit tous les dirigeants de la planète. Seulement, voilà : leurs preuves scientifiques sont fausses, avec des données bidonnées, des modes de calculs erronés et de raisonnements inexacts. Question : pourquoi continuent-ils à nier que leurs preuves scientifiques sont fausses ? Serait-ce une raison tout aussi inavouable que les fausses preuves fabriquées par les Etats-Unis pour envahir l’Irak ? Le réchauffement climatique Cet article ne nie en aucune façon le réchauffement climatique. De nombreux signes convergents portent le témoignage de ce réchauffement, que ce soit par le climat mondial, la montée des niveaux des océans ou la diminution des calottes glacières pour n’en citer que quelques-uns. Personne n’est capable aujourd’hui de dire si c’est une tendance longue ou courte, mais il y a un réchauffement climatique. IPCC = GIEC On s’en inquiète donc et, dès 1988, ils nous fabriquent une nouvelle administration internationale pour étudier ce réchauffement climatique. Les choses sont en place, le cirque va pouvoir commencer. Toute l’histoire commence par le fameux rapport du Giec (Groupement intergouvernemental sur l’évolution du climat). En anglais, il s’appelle IPCC (Intergovernemntal Panel on Climate Change). L’IPCC est un truc un peu bizarre, créé par l’OMM (Organisation mondiale de météo) et le PNUE (Programme des Nations unies pour l’environnement). Les membres sont en fait un représentant par gouvernement (pas besoin qu’il soit scientifique) et l’IPCC vient nous commettre des super rapports qui deviennent la bible en matière de climat pour l’ensemble de tous les gouvernements. Il y a parfois quelques scientifiques, mais nous verrons un peu plus loin que ce ne sont pas eux qui commandent ni qui décident des conclusions du rapport. Les débuts de l’IPCC (GIEC) Jusque en gros 1995, l’IPCC tient des propos très mesurés et prudents, n’avançant des conclusions que lorsqu’elles étaient scientifiquement prouvées. Mais, petit à petit, cette tiédeur n’est plus de mise, et les scientifiques climatologues sont désavoués et doivent démissionner, comme Richard Lindzen (chaire de climatologie au MIT), Christopher Landsea, Pielke, Christy, Rieter... et il ne reste en guise de scientifiques météo (utiles quand même pour étudier le climat) que des botanistes, sociologues, économistes, bref des gens qui peuvent peut-être mesurer les conséquences d’un réchauffement, mais que leur spécialité ne place pas vraiment bien pour étudier l’origine climatologique du réchauffement planétaire. En 1996, ils nous sortent un rapport dont le titre en français est Résumé pour les décideurs et en anglais Summary for policymakers dans lequel la branche politique de l’IPCC impose de supprimer les deux dernières réserves que voulaient quand même mettre les scientifiques : aucune des études citées dans ce rapport n’a démontré clairement que nous pouvons attribuer le changement climatique observé aux gaz à effet de serre ; à ce jour, il n’existe aucune étude prouvant que tout ou partie du changement climatique résulte des activités humaines. Et le rapport part donc, en expliquant que le changement climatique est dû aux gaz à effet de serre et à l’activité humaine, sans aucune des réserves scientifiques nécessaires. Les incohérences de l’IPCC sur les températures La courbe qu’utilise l’IPCC dans son rapport de 1996 est une courbe dite de Michael Mann (le mec qui l’a fabriquée) qui montre que la température baisse en moyenne depuis l’an 1200 et qu’à l’arrivée de l’industrialisation du XIXe siècle, apparaît une hausse brutale de température. Avant 1996, l’IPCC utilisait d’autres courbes qui indiquaient quelque chose de tout à fait différent. Mais la courbe de Michael Mann est devenue la vérité en 1996. Deux petits problèmes sont malheureusement apparus : d’une part le programme statistique utilisé par Mann s’est révélé buggé avec donc des résultats faux, et récemment la méthode utilisée pour calculer la température à partir des cercles de croissance des arbres est également mise en défaut. En tout cas, la fameuse courbe de Mann n’apparaît plus dans le rapport de l’IPCC de 2004. Donc, on ne parle plus vraiment de mesure de température en hausse grave depuis le XIXe siècle due à l’activité industrielle. Heureusement d’ailleurs, car l’Histoire nous dit bien qu’au Moyen Âge on faisait pousser du raisin et qu’on produisait du vin en quantité en Angleterre, ce que la température d’aujourd’hui après la brutale augmentation due à l’industrie que nous assène l’IPCC ne permet pas vraiment de faire... Les incohérences de l’IPCC sur le taux de CO2 Le deuxième argument fort de l’IPCC sur l’influence l’activité industrielle sur le réchauffement climatique est basé sur le gaz à effet de serre et particulièrement la production de CO2. Il y a quand même également quelques petits problèmes de raisonnement. D’abord, selon les auteurs, le CO2 ne serait responsable qu’à hauteur de 40 % à 10 % de l’effet de serre. En effet, c’est surtout l’eau qui est responsable de l’effet de serre. Il y a quand même discussion sur le sujet, même si tous acceptent le fait que le CO2 a moins d’influence que notre bonne H2O. Une conférence contradictoire scientifique vient d’avoir lieu en 2007, avec un résumé des arguments des deux. Ensuite, leur courbe d’augmentation brutale du CO2 dans l’atmosphère est malheureusement fausse... En effet, depuis 1811, plus de 90 000 mesures directes du CO2 de l’atmosphère par des scientifiques très divers dont deux prix Nobels récompensé pour leurs travaux sur le sujet (Krogh en 1923 et Warburg en 1933) montrent des courbes totalement différentes ! Ernst-Georg Beck a bossé deux ans pour compiler toutes ces données et la courbe qu’il montre dans son rapport raconte une tout autre histoire avec en particulier un pic de CO2 à 480 ppm en 1820 et dans le début des années 1940 alors que le taux de CO2 dramatique d’aujourd’hui selon l’IPCC est de 384 ppm. Mais, là, ils n’en démordent pas, parce qu’ils ont mesuré le taux de CO2 dans les micro-bulles de la glace polaire qui leur dit le contraire. Comme si une méthode indirecte de mesure pouvait être meilleure que la mesure directe. C’est un peu comme si je refusais de considérer votre taille parce que mesurer la longueur de votre manche pour en déduire votre taille me permet d’arriver à un résultat différent, mais qui m’arrange ! J’ai trouvé là-dessus des données qui me laissent rêveur, dans un article de Jean Martin (ancien directeur de recherche au CNRS, à la retraite) : voir Carottages glaciaires et mesures directes du taux de CO2 dans l’atmosphère vers la fin de page. Il apparaît que c’est un chercheur, G. S. Callendar, qui avait bâti sa théorie disant ce que l’IPCC dit aujourd’hui (à savoir l’augmentation du taux de CO2 due à l’activité industrielle) et qui, pour justifier sa théorie, a choisi les points qui l’arrangeaient pour fabriquer une courbe qui disait ce que lui-même disait. Quand on regarde le nuage de points d’origine, on se rend parfaitement compte que c’est du bidonnage complet ! D’ailleurs, quand il a présenté son papier en 1938 devant la Royal Meteorological Society, il s’est fait jeté. En plus de ce bidonnage qui ne prouve donc rien (mais dont les données sont utilisées par le rapport de l’IPCC), la méthode même de mesure est mise en défaut. En effet, toute cette technique repose sur le fait que la composition des bulles est celle de l’atmosphère à l’époque. Mais rien ne permet de le dire : en effet, le CO2 se dissout dans l’eau et les molécules de CO2 peuvent passer dans la glace. D’ailleurs, les mesures actuelles tiennent compte de ce phénomène en corrigeant l’âge des bulles de 90 à 200 ans par rapport à la glace, parce que les bulles remontent. Tu parles d’une méthode scientifique... D’autres considérations physico-chimiques (Cf. la fin du papier de Jean-Martin) détruisent encore plus la méthode. Et l’IPCC ne se base que sur cette méthode fausse en ignorant volontairement les autres qui disent le contraire. Pourquoi cette théorie continue d’exister ? Le rapport repose donc sur des faits totalement non prouvés et, malgré leur apparence scientifique, rien ne permet de dire que le réchauffement climatique puisse être relié de façon quelconque à l’activité industrielle. Et la continuation de cette mascarade me gêne beaucoup, car je ne vois pas l’intérêt de fabriquer de fausses preuves. Quand les Américains ont fabriqué de fausses preuves d’armes de destruction massives, je le comprenais : c’était pour se justifier pour aller mettre la patte sur l’Irak et piquer le pétrole. Mais là... A moins que ce ne soit un moyen pour justifier l’interdiction aux pays en voie de développement de se développer pour cause de destruction de la planète. Et même peut-être d’envoyer une force d’intervention américaine autorisée par l’ONU pour fermer les usines de Chine qui sont en train de détruire notre planète ?
Posted on: Sat, 30 Nov 2013 22:45:55 +0000

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