TOUTE CHOSE A UNE FIN, ET MARQUE LE DEBUT D’UNE AUTRE. Me concernant, la fin que je vous annonce est celle de deux mois de travail de fourmi, de recherches documentaires, bibliographiques et iconographiques. De vérification de droits d’exploitation d’images et de cessions de droits de films. De prises de vues. De montage, de recherche sonore et… d’écriture, bien sûr, d’écriture surtout. La fin de ce travail s’ouvre sur une naissance. C’est donc dans un mélange de joie, d’émotion, et d’inquiétude aussi, il faut bien l’admettre – presque de fébrilité – que je vous annonce LA NAISSANCE DE MON PREMIER FILM DOCUMENTAIRE. C’est un format court, très court, 3 minutes, et comme je souhaitais vraiment aborder le statut de l’enfant dans la société française, et le regard que celle-ci porte sur lui, il m’a fallu élaguer, trancher, faire des choix. Et décider d’un axe, le plus clair possible, le plus précis possible, le plus pertinent possible : LA FRANCE FACE A SES PARADOXES en termes de CHATIMENTS CORPORELS. Comme vous le verrez, ceci est le fruit d’une longue, d’une dense, et d’une riche histoire. Ce film n’a plus besoin de moi, il vous appartient maintenant autant si ce n’est plus qu’à moi. Pour le voir, c’est ici : dailymotion/video/x17stvd_l-enfant-en-france-la-chose-humaine_webcam La réalisation est signée par mes soins, Thomas Warshall Plé a assuré le mix et le design sonore, Thibaud Kubarek est l’auteur des dessins du praxinoscope et Ben Toury a gentiment accepté d’en signer la musique originale. Et oui, Ben Toury, je suis verni. Mais je dois encore citer toutes les personnes qui ont contribué à l’élaboration de ce film, sans lesquelles rien n’aurait été possible : Lyn Alias du service de communication du Petit Palais, Ani Boghossian, Choco Oui, Anaïs de Clercq, Julien Le Gallo, Mélisse Magny, France Renard, Mathieu Thomas, Eric Vromont… Pour avoir répondu présent lorsque je vous sollicitais, quelle qu’en soit la raison, je vous remercie de tout mon cœur. Sans oublier mes deux amours, Pauline, mon éminence de cœur et de l’ombre, et Louison, mon phare – petit phare, mais puissant – dans la nuit de mes doutes.
Posted on: Wed, 04 Dec 2013 16:30:19 +0000
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