T’es qui ? Ne t’inquiète pas, je ne suis pas à l’affut de - TopicsExpress



          

T’es qui ? Ne t’inquiète pas, je ne suis pas à l’affut de ta connaissance. Ce n’est pas la naissance d’un questionnaire pour aller à la pêche d’informations afin de savoir qui tu es. Une fois n’est pas coutume j’ai envie de me parler, de savoir et de comprendre. Alors je vais chercher, puiser au fond de moi et exprimer ce que je ressens avec des mots. Il est préférable de voir l’humain s’adapter à la nature que de constater le contraire, je vais essayer de m’adapter à la mienne. Et si je créais de nouvelles images, des images différentes de ce que tu peux penser de moi, de la façon dont tu me perçois. Sans doute n’existe-t-il pas de mauvaises personnes, sans doutes n’existe-t-il pas de bonnes personnes, n’y a-t-il que de bonnes décisions à prendre ? J’ai envie d’oublier mon nom de famille et de redevenir simplement un prénom. A Thaiti « Zao Aito » signifie guerriers de fers. Il est des jours où les sentiments qui m’habitent me paraissent être de la même confection, ils s’entrechoquent. Crois-moi, j’en arrive certaines fois à entendre ce bruit que peut faire le métal contre le métal. Une femme censée m’as dit un jour que j’étais un « Bad Boy Full Options », j’ai creusé plus profondément. En puisant tout au fond de moi j’ai reconnu ce côté apparent de mauvais garçon, et puis la fin de cette appellation, options pleines, que voulait-elle dire ? Alors j’ai fouillé et encore exploré mon âme. Cette quête m’a amené à constater qu’elle avait regardé plus profondément en moi, qu’elle avait décelé des choses. A ce demander si lorsque mes parents on désiré avoir un nouvel enfant ils avaient rempli un questionnaire en langue étrangère, coché une case « Bad Boy », puis une autre « Full Options », sans en comprendre la langue. « Il n’y a pas de formule magique pour réussir, sauf peut-être une acceptation inconditionnelle de la vie, et de ce qu’elle apporte ». Arthur Rubinstein Me voilà donc pourvu du net et du licencieux qui habite chacun de nous, la balance de la vie. C’est un combat que tous ont à mener à terme, alors pourquoi pas moi ? J’ai demandé à cette femme censée ce qu’elle voulait exprimer en ces mots. Sa réponse a été simple. « Sous cette barrière apparente de mauvais garçon se cache un être humain qui crois très fort en l’amour qui réside en chacun de nous. Sous cette carapace un trop plein de douceur et de tendresse inconditionnelle ne demandent qu’à s’exprimer. Est-ce un bien ou un mal ? Seule ta façon de leur donner la vie au milieu des sentiments de tes congénères pourra y répondre ». La douceur de ses propos a fait couler quelques larmes sur mes joues. Mes yeux embués ne me laissaient plus déceler clairement les images et ce qui m’entourait me semblait trouble. Il faillait que je retrouve ce sourire qui faisait briller mes pupilles afin de l’offrir à mes semblables. Je me suis rendu compte qu’en accordant le meilleur de moi-même cela me rendait heureux. Alors s’il te plait, la prochaine fois que je te croise j’aimerais tellement voir ce même sourire dans tes yeux. Hector Plumeau ©
Posted on: Sun, 14 Jul 2013 05:54:30 +0000

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