Un autre billet de notre cliente-chroniqueuse sur la motivation - TopicsExpress



          

Un autre billet de notre cliente-chroniqueuse sur la motivation que ça prend pour une transformation. "Faut être motivée! Je l’entends souvent celle-là! Ou encore, « moi, je n’ai pas ta motivation! » Si seulement les gens savaient… La motivation, ça en prends la 1ère semaine. Après ça, c’est de la détermination! La 1ère semaine, tout est à changer : l’horaire, l’alimentation, la prise de suppléments, les workouts… Ça prend assurément de la motivation pour passer à travers cette semaine-là. Je me suis parlée constamment, en me disant que la semaine suivante, ça irait déjà mieux, j’aurais trouvé ma routine et qu’il fallait simplement que je me donne le temps d’assimiler les changements. Après, c’est facile de rester motivée parce qu’on se sent mieux et on perçoit rapidement la transformation qui s’effectue. Garder sa motivation quand on a pris la décision de faire quelque chose pour soi, c’est simple. Pour moi, mon élément-clé, aura été ma détermination parce que des obstacles, j’en ai eu. Ce que j’ai trouvé le plus difficile c’est de confronter des sources de stress externes. Donc, provenant de mon entourage et de mon milieu professionnel. Cela étant dit, j’ai une cellule familiale extraordinaire* qui m’appuie du mieux qu’elle le peut dans ma démarche, mais idéalement, aurait fallu que celle-ci n’en soit pas affectée. Malheureusement, on ne peut pas changer complètement son style de vie sans que les gens près de nous en subissent les sous-ressauts. C’est la même chose au travail, j’ai dû adapter mon horaire, modifier certaines habitudes qui, ont certainement dérangé ma clientèle mais, qui étaient nécessaires pour ma réussite. Faut être déterminée! Déterminée de se placer au 1er rang, de s’occuper de santé, de se donner tous les outils possibles pour réussir et se convaincre qu’à court/moyen terme, le changement sera bénéfique pour tous. Au début, on a eu à réévaluer nos épiceries (le budget, le choix des aliments) et trouver un terrain d’entente. Ensuite, on a apprivoisé l’idée de pouvoir partager un repas ensemble sans toutefois, manger le même repas. Aussi, j’ai réitéré l’importance pour moi de sortir le samedi soir, d’aller au resto, de choisir ce que je veux sur un le menu et de me faire servir après m’en être tenue à un programme alimentaire stricte toute la semaine. Finalement, je me suis rendue à l’évidence que de planifier mes repas pour la semaine tout en essayant de planifier les repas pour le reste de la maisonnée (travaillant trois soirs et le samedi), devenait une bien lourde tâche à accomplir seule. Comme mon conjoint ne cuisine pas, j’ai trouvé un super traiteur de quartier. Maintenant, tous les dimanches, je vais chercher des petits plats cuisinés pour la semaine et tout le monde est heureux. Si en début de semaine, je me prépare un mets qui leur déplaît, ils n’ont qu’à se choisir un plat et le tour est joué! J’ai éliminé beaucoup de stress et de frustrations ainsi. Mes choix ne sont pas les leurs et vice versa mais, tout aussi importants…. Propriétaire, coiffeuse depuis plus de 20 ans, dans le domaine du don de soi et du 12 heures par jour, debout, sans manger, à vivre de nicotine (j’ai arrêté il y a 10 ans) et café sans avoir le temps de l’éliminer, ça été toute une rééducation. Comment introduire 4 repas/par jour à mon horaire? Comment trouver le temps d’aller éliminer toute l’eau que je consomme dans une journée? Comment gérer la déception que je lirais sur le visage des clientes lorsque je leur refuserais un rendez-vous pour me permettre de répondre à mes besoins primaires? J’ai appris à déléguer, je me suis répéter souvent : « je prends ce qui m’appartient, le reste, je n’y peux rien », j’ai réalisé à quel point je pouvais donner un meilleur rendement et être plus réceptive parce que j’avais les idées claires. Finalement, « tout ce qui change, dérange ». Je découvre le vrai visage des gens, ceux qui veulent mon bien, ceux qui sont confrontés par ma démarche, les insécurités qu’ils peuvent avoir. En bout de ligne, ça ne regarde personne, ça m’appartient, c’est ma vie et comme je le dis souvent à qui veut bien l’entendre : « si mes lumières s’éteignent aujourd’hui, j’aurai vécu comme j’en avais envie! » Ma chanson-inspiration : I lived de OneRepublic. Cultivez vos défis et soyez déterminés à les réaliser! *Au cœur de cette cellule il y a un homme extraordinaire qui me répète constamment à quel point il est fier de moi et que pour lui, ce serait une réussite de pouvoir accomplir le tiers de ce que je fais. Il faut être bien entourée!"
Posted on: Mon, 30 Sep 2013 17:30:30 +0000

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