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Une économie au défi de l’environnement En annonçant lors de son discours inaugural du 14 mars 2006, l’harmonie qui existe entre le développement économique et le développement durable, le ministre britannique savait que leur conciliation cause problème et c’est la protection de l’environnement qui se trouve être au cœur du débat. Aujourd’hui beaucoup de spécialistes s’accordent sur le fait que la croissance économique actuelle est la cause de la dégradation de l’environnement. Il y a une inadéquation entre le système économique et la dynamique écologique. La science économique s’est développée sans tenir compte des principes environnementaux. Face aux enjeux environnementaux, les économistes ont commencé à prendre conscience de la problématique. Des solutions allant des plus raisonnables au plus irréalistes : la dématérialisation de la croissance, la croissance zéro, la décroissance. Privatiser l’environnement : l’environnement se dégrade parce que c’est un bien commun, il faut le privatiser. Il y a pas de contrôle strict ainsi l’absence de droit de propriété à fortement influencée l’exploitation abusive des ressources naturelles. Avec la publication de l’article « la tragédie du bien commun » on assiste à la naissance d’un courant de pensée économique prônant la privatisation de l’environnement pour sa meilleure gestion. Cependant ce courant d’économiste se heurte à la problématique de l’éthique. L’internalisation des coûts environnementaux : intégrer le coût environnemental dans la production du bien et que ce coût soit assumé par ceux qui en tirent profit. Cette assertion est réfutée par le célèbre J.B.Say en 1828 « les richesses naturelles sont inépuisables, car sans cela nous ne les obtiendrons pas gratuitement ». Outils économiques ou réglementation : un faux débats : de la même manière qu’il faut privatiser l’environnement, un autre groupe d’économiste préconise des mesures pour une réglementation de l’utilisation des ressources naturelles. Là, la principale équation réside dans l’application et l’acceptabilité des déférentes mesures par les sociétés. Prochainement nous parlerons de d’autres visions d’économistes, le groupe de ceux qui prônent le « verdissement des politiques économiques », « d’une économie écologique », « du système économique comme construction sociale », de la « société en transformation» et des « écologistes : un mouvement pluriel »
Posted on: Fri, 21 Jun 2013 18:29:50 +0000

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