En regardant tes photos, je me sens rempli d’inspiration. Et, comme c’est toujours beau de t’écrire, je me lance une fois de plus dans cette aventure. (Il est 24 heurs à ma montre) Parfois, je t’imagine entrain de me lire, j’imagine alors ton joli sourire à l’approche de mes mots, j’imagine ces tracés d’émotions qui traversent la fraicheur de ton visage de jeune fille ; mon absence te fait vieillir m’aurai-tu écris un jour. J’ai pleuré en te lisant. C’est pourquoi, ayant choisi la pureté de la nuit, je te réponds du fond de mon cœur par une phrase toute petite mais dont la puissance fait trembler ma voix et me fait réaliser toute la grandeur de l’amour : je t’aime. Sur la paume de ta main, j’avais écrit cette mystérieuse phrase de jacques Salomé : « l’amour ne nourri pas les affamés mais les rend beaux ». Quand tu m’as demandé ce que signifiaient ces mots, je ne savais pas quoi dire et aujourd’hui encore, je ne saurais te répondre car, à l’opposé de la statistique, et de la médecine, l’amour n’a rien de cartésien. Dans cette soif d’amour, je te sens belle et remplie de jeunesse; (...) Mes jours se ressemblent ; un peu de sport, de lecture mais surtout d’écriture et pour ne pas perdre la forme humaine, je m’efforce de manger malgré le manque d’appétit. Dans deux semaines, je reprendrai avec les cours, j’espère pouvoir mettre fin à cette monotonie… J’ai encore beaucoup de chose à te dire, mais rien ne résiste à ces bras de Morphée qui me caressent et qui, peu à peu, m’emportent dans le sommeil, je me sens vaincu et du dernier souffle qui me reste, je chuchote d’un ton vacillant, dort bien princesse et puisse, ces réminiscences se mêler à mes rêves pour l’éternité. Yves le Grand
Posted on: Sat, 14 Sep 2013 17:59:03 +0000
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