La nuit dernière, Blair a nié catégoriquement lallégation de M. Mbeki, en disant que si il croyait Zimbabwe serait mieux sans Mugabe quil na jamais demandé à quiconque de plan ou prendre part à une« action militaire. Plus tôt, dans une interview à Al-Jazira, M. Mbeki a indiqué que le Zimbabwe a sombré dans leffondrement économique et la répression politique en 2000, lAfrique du Sud et la Grande-Bretagne ont des opinions radicalement différentes sur la façon de gérer la crise. Mbeki en faveur dun règlement négocié; Blair voulait Mugabe pour aller, par la force si nécessaire. «Ce fut la différence. Alors ils ont dit Mugabe doit partir ». Mais nous avons dit Mugabe fait partie de la solution à ce problème , a déclaré Mbeki. Mbeki a rappelé une interview donnée par Lord Guthrie, chef de létat-major de la Grande-Bretagne, qui a dit les gens essayaient toujours de me faire regarde renverser Mugabe. Un chef à la retraite des forces armées britanniques dit [il] a dû résister à la pression de Blair, qui a dit,« Vous devez travailler sur un plan militaire afin que nous puissions retirer physiquement Robert Mugabe. Mbeki a indiqué que lidée a été rejetée par principe. «Pourquoi faut-il devenir la responsabilité britannique de décider qui conduit le peuple du Zimbabwe? demandé Mbeki. «Nous avons donc dit:« Non, nous Zimbabwéens sasseoir, laissez-les parler. En 2000 et 2001, Mugabe a accusé à plusieurs reprises la Grande-Bretagne davoir comploté pour recoloniser le Zimbabwe. Il a dit la Grande-Bretagne avait envoyé escadrons de la mort dassassiner son cabinet et a déployé des navires de guerre pour intercepter les approvisionnements en carburant du Zimbabwe. Cela est devenu une partie de son discours alors quil tentait de rallier le soutien contre le Mouvement pour le changement démocratique.
Posted on: Thu, 28 Nov 2013 12:13:58 +0000
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