Le M23 reconnaissait sa défaite aujourdhui , mettant un terme apparent à des attaques dévastatrices du groupe armé soutenu par le Rwanda contre des civils en République démocratique du Congo. Cest un grand pas en avant , mais le travail pour tenir compte des crimes commis par toutes les parties dans ce conflit complexe ne fait que commencer . Défaite soudaine du M23 est due en partie aux opérations militaires de larmée congolaise et de lappui essentiel fourni par la Force des Nations Unies maintien de la paix , la MONUSCO , et sa nouvelle Brigade dintervention dirigée par des Africains . Mais la clé a peut-être été la pression internationale sur le Rwanda à cesser de soutenir le M23 . Après suspensions de laide au Rwanda par les principaux donateurs en 2012 et 2013 , les dénonciations publiques de ses proches alliés , et demande au président rwandais Paul Kagame du secrétaire dÉtat des États-Unis John Kerry et Royaume-Uni secrétaire au Foreign Office , William Hague, lorsque la dernière série de combats a commencé téléphone à la fin Octobre , le gouvernement rwandais a pu conclure que son soutien à la M23 était devenu trop dommageables pour son image publique. Dans les récents combats , les rebelles M23 nont pas obtenu le soutien militaire du Rwanda quils avaient dépendu des opérations antérieures. Pour les 19 derniers mois , les rebelles ont terrorisé les civils : meurtres et les viols , le recrutement forcé denfants comme soldats , et de cibler quelquun qui a osé dénoncer les abus. Pas plus tard quhier , le M23 a bombardé les villes de Bunagana et Chengerero , tuant au moins 15 civils et en blessant beaucoup dautres. La nuit dernière, ils ont été chassés de leurs deux positions restantes , et a annoncé ce matin une fin: pour leur rébellion. Alors que beaucoup au Congo sont susceptibles de célébrer la défaite de la M23 , de nombreux défis restent à relever . Est du Congo a été assiégée par les abus commis par dautres groupes armés , ainsi que par larmée congolaise elle-même , qui ont aussi été responsables de meurtres , de viols et dautres violations des droits de lhomme . À lavenir , le gouvernement congolais devrait mettre laccent sur les trois priorités suivantes : · Arrestation M23 dirigeants responsables de crimes de guerre, crimes contre lhumanité et autres graves atteintes aux droits de lhomme et les traduire en justice dans des procès crédibles justes ; · Donner des ordres explicites à tous les membres des forces de sécurité de ne pas mener des attaques de représailles ou dautres abus contre les membres du groupe ethnique tutsi ou soupçonnée M23 collaborateurs. Ceux qui sont impliqués dans de tels actes doivent être traduits en justice sans délai et · En collaboration avec la MONUSCO , face à la menace posée par dautres groupes armés violents , y compris les Forces démocratiques pour la libération du Rwanda ( FDLR) , la défense Nduma du Congo ( NDC) dirigé par Ntabo Ntaberi Sheka , le Raia Mutomboki , et un certain nombre de des groupes de miliciens hutus congolais souvent désignés comme Nyatura . Dans le cadre de ces efforts , mettre en œuvre durgence un nouveau désarmement, la démobilisation , et de réinsertion qui offre des possibilités demploi pour les ex-combattants et veiller à ce que les chefs rebelles responsables de graves violations des droits de lhomme sont arrêtés et traduits en justice. Le gouvernement congolais , avec le soutien de lONU et diplomatique , a montré un engagement fort pour sattaquer à la menace posée par le M23 dune manière qui évite de répéter les erreurs du passé de criminels de guerre enrichissantes avec les postes militaires de haut rang et la promotion de limpunité. Il doit montrer la même détermination en sadressant exactions commises par dautres groupes armés , ainsi que les membres de ses propres forces de sécurité .
Posted on: Mon, 11 Nov 2013 08:21:44 +0000
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