21.07.2013 Maître St Germain L’Irak L’Irak devient le - TopicsExpress



          

21.07.2013 Maître St Germain L’Irak L’Irak devient le théâtre d’attentats quotidiens visant à enflammer les groupes religieux dans la course au pouvoir. Tout cela est fomenté par les Pays du Golfe, poussés par les USA et les sionistes pour qu’aucune coalition sunnite-chiite ne prenne le pouvoir dans la région. Cette politique d’attentats crée un climat de peur constante et attise la révolte. Ce qui se passe en Irak se passe aussi sous d’autres noms ou prétextes dans tous les Pays du Moyen et Proche Orient. Attiser la haine pour diviser, tuer et faire porter la responsabilité sur l’autre est manipulation honteuse et mensonge permanent. Ne pas répondre à la provocation. Rechercher l’unité et de justes relations est voie de Sagesse. Ce n’est pas le Peuple qui se bat, ce sont les extrémistes qui utilisent le Peuple à leurs fins : semer la terreur pour mieux dominer la scène politique au service des pays sionistes Israël-USA, ajoutons maintenant une partie de l’Europe. Il faudra bien assumer ce qui est engagé : on ne nourrit pas des fous sans danger : les extrémistes. C’est une politique suicidaire. Nous en arrivons à La politique de la peur L’exemple de la France a cela d’intéressant que c’est le Pays où SL vit, qui a mission de porter la Nouvelle : la Racine Divine s’est révélée, exprimée en France, même si, il est vrai, la Reconnaissance se fera par l’extérieur : l’Afrique d’abord. Ce qui se passe en France est révélateur d’un climat insurrectionnel donnant suite à trente ans de politique de l’ignorance plutôt que de réponse aux problèmes de l’immigration. La France et son passé chrétien se trouve confrontée à une montée de l’islamisme d’abord modéré et servant aujourd’hui de levier de contestation à une population qui n’a jamais été intégrée à la population française. Pourquoi ? Les immigrés d’Afrique du Nord, sont pour la plupart issus des travailleurs pauvres dont la France a eu besoin, traités comme les esclaves du bâtiment (jusque dans les années 1980) avant que leurs familles ne viennent en France. Rien n’a été fait pour leur intégration, et le traumatisme des nouveaux arrivants s’est « réveillé » dans les générations suivantes, principalement les plus jeunes : les petits-enfants qui, rassemblés en ghettos, se sont mués en centre de rébellion. Il est trop tard pour bien faire parce qu’il n’y a plus les moyens ni d’améliorer les relations France-immigrés, ni d’impliquer cette jeunesse dans la richesse locale : un emploi pour tous. De pauvres, ils deviennent des parias, relégués aux extérieurs des villes, et se sont constitués en bandes pour faire face à l’exclusion. De là à trouver les combines pour survivre, et nous avons le tableau de cités entières laissées à l’abandon et prises en otage par des groupes de plus en plus violents et de mieux en mieux organisés. Le déni du droit est la loi. Ils sont « nés » révoltés par le manque d’intérêt du pays dans lequel ils vivent. Ils sont des déracinés parce qu’ils n’ont plus de repères culturels stables : leur famille, leur culture, leur village sont loin et en France, ils sont considérés comme des sous-produits : la classe inférieure. Quelques-uns s’en sortent, il est vrai, et sont la fierté du groupe. Pour l’ensemble, il n’y a pas d’avenir et c’est ce phénomène de désespérance qui crée la tension et la désobéissance à l’ordre public. Ces bandes ne sont pas en nombre important mais suffisant pour imposer leurs lois, par la peur, aux habitants des cités. La politique du silence règne pour ne pas subir de représailles. Les populations noires ne vivent pas dans le même état d’esprit. Elles ont des attaches plus fortes avec leur tradition, leur famille et se suffisent à elle-même dans la fraternité. Ce que ne vivent pas « les Arabes des cités », plus individualistes. La non-intégration de cette population qui a beaucoup grandi inquiète parce qu’elle a gardé en son cœur la tradition arabe, une mentalité arabe d’origine, qui, il faut le reconnaître, n’est pas faite pour s’adapter au système français dans l’indifférence des Français d’origine. Il en résulte l’accroissement d’un groupe ethnique en parallèle à la stagnation de la « vieille France », sans que soit pris en compte le devenir de ce groupe. Cela ne peut conduire qu’à une explosion sociale, sur fond de misère sociale et de « racisme des banlieues ». La police a fort à faire et ne peut rien contre une ligue organisée de protestations, tous prétextes confondus. La peur fait le lit de la brutalité pour s’imposer, grandissant le phénomène d’insécurité et de révolte, en réponse. Un coup est vite parti et la réponse suit, multipliée par 10, par 100… On en arrive à instrumentaliser le point commun : le religieux, et à le durcir, uniquement pour se fédérer. Cela fait le lit de l’islamisme qui se radicalise, rejoignant en ce sens, la légitimité que les Pays USA-Europe ont accordé à Al-quaïda et consorts, pour défendre leurs intérêts au Moyen-Orient et ailleurs, en Afrique sub-saharienne aussi. Ils sont partout. On les laisse venir, se multiplier et il ne faut pas s’étonner maintenant qu’ils aient éveillé des vocations, par le simple fait qu’on les ait autorisés à défendre les intérêts de la France et de bien d’autres. Légitimer et entretenir le terrorisme à l’extérieur, pour son propre compte, entraîne obligatoirement un retour : on l’autorise aussi à l’intérieur et cela fait la part belle au djihadisme à la française. La jeunesse arabe de France n’a rien à gagner aujourd’hui de sa présence en France, et le manque de perspective l’entraîne dans une confrontation dangereuse et irréversible par manque d’unité, d’intégration, de compréhension avec les populations locales, françaises d’origine. C’est un problème raciste, qui faute d’emplois pour tous, ne peut que s’aggraver. La police, mais aussi les services d’aide ont peur. Personne ne se sent plus en sécurité, certaines cités sont interdites d’accès aux étrangers des cités. La mafia de la drogue y prospère. La police n’y a plus droit de cité. Ce qui restait confiné à l’intérieur de la cité s’exprime maintenant à l’extérieur et c’est l’union qui fait la force. La France a peur de ses cités qu’elle a abandonnées et elle n’a plus les moyens de les valoriser : lieux et habitants. La guérilla s’installe et les médias ne relatent pas les faits quotidiens. Après cette description qui ne concerne pas seulement la France, c’est le cas de tous les pays qui ont invité sur leur sol des travailleurs étrangers et qui aujourd’hui, n’ont pas de quoi les nourrir. Que va-t-il se passer ? C’est la guerre dans la guerre. La poussée de « l’islamophobie » entretenue par les extrémistes et les médias pousse à la haine raciale. Ce qui se passe dans certains Pays d’Afrique est aussi en France, et le mal est bien implanté pour ne pas pouvoir l’éradiquer sans le concours de tous : toutes les populations concernées. L’application des Lois doit se faire par tous et la collaboration de tous. Tous les habitants des quartiers comme des cités doivent prendre à bras le corps le problème de l’insécurité comme un fait de société qui ne pourra trouver d’issue si les barrières des cités, de l’individualisme, du racisme, du manque de compréhension ne tombent pas. L’irrespect et l’agressivité sont érigés en muraille, ce qui aurait dû être simple barrière de jardin. Les deux côtés ont leurs torts et ce n’est qu’en cherchant l’apaisement que le dialogue sera. Aujourd’hui les tensions mondiales sont au cœur de tous et le temps de l’apaisement risque fort de se trouver dépassé par la volonté des extrémistes radicaux à saccager tout ce qui pourrait l’être au nom d’un islam de la mort qui n’a rien à voir avec la pratique modérée des musulmans majoritaires des cités. Ne pas lutter efficacement contre ces groupes mafieux, c’est donner les clés des cités à des faiseurs de guerre, alliés, quoi qu’on en dise, par intérêt à l’islam radical qui les couvre par unité stratégique. Tout cela n’augure pas de la Paix en France, si chacun ne prend pas à bras le corps le problème de l’immigration et ne cherche pas à y répondre avec équité, fermeté et Amour. C’est le problème de tous : population des cités comme population de toute la France. La Loi, la Juste Loi appliquée par tous. Il n’y a pas deux méthodes. Le laxisme fait le lit de l’extrémisme, le mensonge et le double jeu aussi. Quand le Peuple aura élu un gouvernement compétent, tout le monde se mettra à l’ouvrage et l’avenir de la France sera moins sombre. En attendant, c’est aux Français à régler le problème sans attendre, et de s’unir selon la Loi de Justice pour tous, et non sous couvert prioritairement d’appartenance ethnique. Le problème ethnique en France est exacerbé par la répression policière dont les moyens sont dérisoires, au vu de la colère ambiante. Avant que tout n’explose, et brûle comme un feu de paille, des solutions d’engagement, de partenariat, basées sur la confiance mutuelle, doivent être trouvées et mises en place. Trop peu a été fait depuis trente ans. Il est temps que cela change. Ce n’est pas islam contre chrétienté qui est à défendre, mais la Juste Loi pour tous. Aujourd’hui aucun groupe n’est satisfait de la situation, hormis les fauteurs de trouble qui se nourrissent des faiblesses des uns et des autres. On ne laisse pas une cité se détruire, on la reconstruit de ses mains. Ce n’est pas l’Etat qui fera à la place des hommes. La volonté individuelle et associative est la réponse au climat d’abandon et de révolte régnant. Une cité n’a pas de frontière. Elle est inclue dans la ville et la ville ne peut l’ignorer. Chacun a son choix à faire. Aller vers l’autre est la Loi. Si rien n’est fait, la révolte va prendre des proportions ingérables et la France sera le théâtre d’affrontements sanglants. Nous avons assez dit. Vous êtes prévenus. MStG & SL
Posted on: Mon, 22 Jul 2013 10:29:11 +0000

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