CHARLES BLE GOUDE, LE SYMBOLE DE LA JEUNESSE IVOIRIENNE - TopicsExpress



          

CHARLES BLE GOUDE, LE SYMBOLE DE LA JEUNESSE IVOIRIENNE MEURTRIE, A ETE MASSIVEMENT SOUTENU CE SAMEDI 13 JUILLET 2013 A PARIS C’est autour du COJEP-France dirigé par Zap KRASSO que la majorité des organisations politiques de France, leurs responsables du camp du Président Laurent GBAGBO et leurs amis africains et français se sont rassemblés cet après – midi du 13 juillet 2013 à Paris. Après un temps d’observation pour mettre les troupes en ordre, le cortège des manifestants s’est dirigé lentement vers la Place Beaubourg en face de la bibliothèque Beaubourg ou Georges Pompidou, du nom de son fondateur. Une heure plus tard, le cortège qui s’est agrandi des touristes friands de la musique ivoirienne patriotique cadencée, est arrivé sur la fameuse place, « blanche » de touristes et autres amoureux du beau-temps. Durant la marche, Zap KRASSO, le Président du COJEP-France, le parti politique de Charles Blé GOUDE, a fait l’honneur à ses invités de commenter en personne les tragiques évènements post-électoraux ivoirien. On notait dans cet imposant défilé politique, entre autres, la présence de Toussaint Alain, Hortense Adé ASSALE, Willy BLAH, Brigitte KUYO, Eugène TAGRO, Florentin BOBIA, Pascal LOGBO, Fatou MAHINE, Prisca DIGBEU, Léontine TOPO, Eugène LOUE, Guy DAGOU, Arsène TOUHO, Alexis ZAHOUA, Christine ZEKOU, J.B. AFRAN, les sœurs GOHOUROU, Georges AKA, pour ne citer que ceux-là. L’évènement a été présenté par Zap KRASSO. Il était dédié à son chef hiérarchique le ministre de la jeunesse Charles Blé GOUDE, celui que l’on a appelé le Général de la rue, pour sa capacité de mobilisation des jeunes. Ce dernier qui a été le fer de lance de la mobilisation et ralliement des jeunes ivoiriens à la cause défendue par le Président Laurent GBAGBO, a été décrit comme un grand défenseur de la dignité républicaine ivoirienne contre les tentatives de déstabilisation du régime du Président Laurent GBAGBO par les rebelles armées par l’Occident et l’armée française (évènements macabres de 2004 – 2005 de Bouaké et de l’hôtel ivoire). Par ailleurs, pour Zap KRASSO, Président du COJEP – France, il fallait se souvenir de Charles Blé GOUDE, ce symbole des jeunes, kidnappé au Ghana, remis aux autorités de la Côte d’Ivoire où il est emprisonné dans des conditions totalement effroyables. La France étant l’une des rares places où l’on peut encore dénoncer, selon le Président du COJEP-France, les ivoiriens encore libres doivent porter à la connaissance de l’opinion publique française, dans la rue, les conditions dans lesquelles leurs frères et sœurs vivent, aux antipodes des droits humains élémentaires. Etant donné que acteurs politiques du pays des droits de l’homme sont silencieux là-dessus, il appartient aux ivoiriens de s’organiser pour être propres avocats. Enfin, pour Zap KRASSO, le cas Charles Blé GOUDE symbolise la répression systématisée des jeunes ivoiriens dont l’objectif, à terme, est de tuer dans l’œuf l’avenir de la nation ivoirienne. Pour la Côte d’Ivoire de demain, la manifestation de ce 13 juillet 2013 prend donc tout son sens. Un autre intervenant, « l’indéboulonnable » Willy BLAH, a d’abord lancé un vibrant hommage à Zap KRASSO dont il a loué le courage, celui d’avoir mis à l’honneur le ministre Charles Blé GOUDE en réunissant autour de lui tous les ivoiriens épris de justice, de paix et d’amour pour leur pays. Profitant de cette tribune ambulante, Willy BLAH a appelé les ivoiriens à aller au-delà de leurs organisations respectives et à se mettre ensemble, le plus souvent possible, pour dénoncer la condition inhumaine de détention des prisonniers politiques ivoiriens, incarcérés dans le Nord du pays et dont la liste ne cesse de s’allonger. A partir de la Place Beaubourg, Toussaint Alain, s’adressant aux blancs, très très nombreux, vu le beau temps et l’attraction du cortège ivoirien, auréolé de drapeaux et gadgets aux couleurs « orange, blanc, vert » du pays, a levé le voile sur ce qui se passe en Côte d’Ivoire, du moins le drame que traversent les partisans du Président Laurent GBAGBO. Selon Toussaint Alain, dans le silence et l’opacité extérieures, plus de 800 partisans du Président Laurent GBAGBO croupissent en prison en Côte d’Ivoire dont l’épouse du chef de l’Etat ivoirien (Mme Simone EHIVET GBAGBO), son fils Michel GBAGBO, ses collaborateurs, ministres et députés notamment le Président du FPI, le parti présidentiel, M. Pascal Affi N’GUESSAN, le Gouverneur Dacoury Tabley, Mme Bro GREGBE, etc. Traités avec mépris et sans soins, ils sont en proie à toutes les maladies. Poursuivant son objectif d’alerter et d’informer la communauté française, Toussaint Alain a souligné que M. Alassane OUATTARA a été imposé aux ivoiriens par les armes sous la conduite de l’armée française. Cette action, qui s’assimile à un coup d’Etat, a déposé le Président régulièrement élu, SEM Laurent GBAGBO qui est actuellement incarcéré à La Haye, à tort, alors que le régime génocidaire de M. Alassane OUATTARA vit en toute impunité en Côte d’Ivoire. Enfin, l’intervenant a appelé les français à ouvrir les yeux sur la situation des ivoiriens proches du Président GBAGBO qui sont, au quotidien, victimes de la barbarie du régime mis en place par la France de Nicolas SARKOZY et ; laquelle barbarie qui continue sous le Président François HOLLANDE et qui ne cesse de réprimer les ivoiriens. D’autres intervenants ont aussi marqué de leurs empreintes cette manifestation dédiée à Charles Blé GOUDE et, à travers lui, à la jeunesse ivoirienne, sur cette place pleine de monde, en face de la bibliothèque qui porte nom de l’ancien Président français Georges Pompidou, agrégé de lettres, dont l’architecture révolutionnaire attire depuis sa construction des millions de personnes. Paris, le 14 juillet 2013 Zogo Toussaint GOBA
Posted on: Sun, 14 Jul 2013 14:28:43 +0000

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